Vocal, clavier et…reconnaissance manuscrite
Jusqu’à maintenant, il n’y avait que 3 solutions pour se faire « comprendre » par une tablette : le clavier virtuel, qui a l’inconvénient d’occuper toute la place de l’écran, le clavier physique, à condition que votre intégrateur en ait prévu un et le vocal, à la mode Siri, qui moyennant quelques précautions et le non-respect des voisins, vous permet de vous faire « entendre », sinon comprendre par la tablette.
Il convient désormais d’en ajouter un 4e, le mode stylet associé à un mécanisme de reconnaissance manuscrite.
L’idée étant que l’on peut se trouver en situation telle qu’il faille aller vite dans la saisie, sans pour autant importuner les participants, pour enregistrer les points essentiels d’une décision, d’un contrat ou d’une réunion. On pourrait certes écrire directement sur du papier, mais outre le fait que cela pourrait sembler « rétrograde » par les jeunes « pousses » et vous cataloguer définitivement dans la catégorie des rescapés du Néandertal, il faudrait de toute façon transcrire le tout sur un support numérique. Et après tout, la tablette étant censée nous suivre partout, on ne voit pas pourquoi elle ne serait pas capable aussi de saisir ce que nous écrivons, à condition de pouvoir relire les contenus ensuite.
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