L'une des filiales de Google s'est donné pour vocation de "vaincre la mort". Elle cherche "ad minimum" à comprendre les mécanismes du vieillissement et le fonctionnement intime du cerveau. Google n'est pas seul et la concurrence est rude entre des candidats qui ont en commun des moyens financiers sans limites. Notre webinaire s'est donné un double but dans ce domaine très spécifique de la recherche : d'abord faire le point sur les dernières avancées et les espoirs qu'elles font naître, montrer ensuite ce qui va changer grâce à une meilleure connaissance des mécanismes du cerveau, les interfaces avec la machine, qui seront plus proches de la réalité, la simulation plus fine des prises de décision, la compréhension de la conscience et du libre arbitre… Tout laisse penser que la décennie à venir sera sans comparaison avec celle qui vient de se terminer. Un indice nous rend optimistes : les prestataires même richissimes, ne dépenseraient pas des fortunes s'il n'y avait pas l'espoir d'une profonde révolution. Avec des conséquences "sonnantes et trébuchantes".

Le boreout est l’inverse du burnout, une maladie nouvelle due à l’absence de travail réel et d’utilité dans les tâches quotidiennes. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il fait autant de dégâts que le burnout et peut s’avérer encore plus difficile à vaincre. Il se traduit par un désintérêt chronique, par des erreurs à répétition, par un sentiment de fatigue et d’isolement par rapport aux autres employés. Il mine les personnes, qui se sentent inutiles et inintéressants en comparaison avec leurs collègues, mais aussi dans leur propre famille. Cette situation, si elle perdure, peut aboutir à des dépressions graves, mais aussi à des suicides, tant l’inutilité peut devenir insupportable. Ce fléau touche essentiellement les grandes entreprises et les organisations gouvernementales, qui peuvent se permettre de gérer une part importante de "laissés pour compte". Notre webinaire met l’accent sur cet aspect de la vie professionnelle moderne. D’autant plus délicat que les modes de travail tels que le télétravail et les outils de collaboration ont tendance à mettre en évidence ces personnes qui appartiennent plus au décor qu’aux entreprises. C’est très difficile à vivre, voire insupportable.